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rédaction: Frankwalt Möhren
foier m.
[ÉtymologieD’une substantivation au neutre de l’adj. lt. *FOCARIUS, -A, -UM “qui appartient au foyer”, dérivé de FOCUS m. “foyer”. Ce lt.vulg. *FOCARIUM n. “foyer (particulièrement dans la cuisine)” peut s’interpréter aussi comme un dérivé de focus moyennant le suffixe instrumental -arium (v. MLFrGr II § 61; Nyrop 3, § 248). Lt. focarius m. “cuisinier” date d’av. 228 (Ulpien, ThesLL 61,986,37), focaria f. “cuisinière” du 2es. (Pomponius, aussi Vulgate 1Sm 8,13, ThesLL 61,986,40; pour déb. 8es. Bède etc., v. LLT-A). Mlt. focarium n. “foyer” est documenté dep. ca. 1175 (LathamDict 1,969b; ca. 1200 Joh. de Forda, éd. Mikkers/Costello, 103,220, etc., LLT-A; DC 3,532b; MltWb 4,341). Vit aussi en frpr. foyer (GlSuisse 7,893b); occ. foguier (dep. déb. 13es., Rn 3,345b; Lv 3,515b); esp. hogar (dep. ca. 1235, Corom2 2,969 n.1); [cat. fogar (AlcM 5,939a), p.-ê. de l’esp. (CoromCat 4,64a avec n.6(1)); pour it. focolare, v. TLIO (dep. fin 13es., sens jur. 1275); CortZol2 595b; Corom2 2,969 n.1)]. Le lemme établi, foier, tient compte du traitement régulier du k entre voyelle vélaire et a: sonorisation, affaiblissement et chute (FouchéPhon 614,b,r.II; Pope § 518; 519; Rheinfelderf § 729(2)).
Rem. no 1: Les contextes montrent qu’il s’agit tantôt d’un foyer de cuisine généralement élevé, tantôt d’un foyer construit devant ou dans le mur servant surtout au chauffage. Voir les citations. Pour l’évolution du foyer (feu ouvert) vers le poêle (feu fermé), datable du 12e au 14e siècle et ult., dépendant des régions et du climat, v. Tauber, Herd und Ofen, Olten 1980, spéc. 359-363, aussi Alexandre-Bidon et al., Cadre de vie, Caen 2006, spéc. 129-159, avec bibl. (on devrait joindre philol. et archéol.(3)). Pour les sens de “réchaud” et “brasero”, cp. it. (Toscane) focolare del ferro “braciere”, av. 1325 (réchaud de cuisine transportable) et 1361 (inv.), TLIO 1.1., un brasero mobile aussi dans 14e/15es. Bibbia volg., Battaglia 6,90b. Les deux options, feu ouvert ou fermé, coexistent jusqu’à nos jours; cf. foiere, infra.Rem. no 2: NoomenFabl 10,202 n., Jouglet 365, invente feuier sur la base du vers Le feu est il desteint dont?, pour corriger le mètre. Ce ‘mot’ créé est même entré au gloss.; supprimer.Rem. no 3: Le grillon du foyer Frobert (RenContr) tient son nom du grillon dans RenM I 1323 (DEAF G 1409,24). RenContr1R documente la qualité magique du grillon domestique et particulièrement son affinité au foyer; lire les vingt vers correspondants. Pour les croyances diverses v. RlFn 13,90 (Mayenne cendrillon, etc.); 101 (dans la cheminée); BächtoldSt 3,1162-1168.
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(foier 2et. 12es. CharroiPo 123; CourLouisLe 545; Aiol2F 7251; AlexParA III 6389; MonRaincB 1605; VengAlE 1799; FergM 40,21 (1463); PrestreAlisN 253; SPierJonglN 92 ms. D; StimmingMot 8,b,9, p. 83; etc.etc.SegrMoine2N 330 ms. B; OutVilbN 133; AntiocheD 7604; CoincyII34K 1311 var.; Saisna/lB 2766; SaisnlB 3090; FevresS 233b-20; MaillartR 2103; 2114; MonRaina[B 6815]; HuonAuvbS6 8845; HuntTeach 1,320b,11; [AalmaR 12430], ⁠agn. fuier SThomGuernW1 2739, ⁠s.l. fouier Aiol2F 7296; GautAupF 449; SPierJonglN 92 ms. A; TroisBoçusN 113; 198; CoincyII34K 1310; CourLouiscLe 296; MeunArlN 179; SegrMoine2N 285 ms. p; LMestL II,xxx,12, p. 282; AubS 406; etc.etc.OutVilN 131; AlexParhM 423,21; RenγF2 257; RenContr1R 2,200 (après RenContrR 27470); ChirChevP 58; LionBourgAlK 27754; [doc. orig. Rouen 1370 ChazelasClos 221], fouyer AalmaR 4312; 5585; GlLilleS 126b, fouhier JDupinMelL 1267, foiier GautArrErL 4231, ⁠agn. foer HuntTeach 1,230, ⁠pic. foiuier ChirPoutrS 70vo,20, ⁠s.l. feuier AngDialGregO2 3290; 3305; 3314; 3318; BaudCondS 169,507 (Hiraus))
  • “espace confiné (généralement à l’intérieur, maçonné et élevé) aménagé pour faire le feu (servant à la cuisson ou au chauffage ou aux deux), le plus souvent pourvu d’une hotte” (dep. 2et. 12es., CharroiPo 123 [Sor .i. foier est G. montez (pour tenir un discours)]; CourLouisLe 545 [toi meïsme, qui sire es del mostier, Ferai ardoir sor charbons en foier, var. C sor carbons de fouier]; SThomGuernW1 2739 [lur penitence ferunt lez lur fuier (à la maison)]; GautArrErL 4231 [(la bonne vie) parra bien a sen foiier]; Aiol2F 7251 [serai arse en un large foier]; AlexParA III 6389 [mengier sans table et sans touaille tout ensemble el foier, éd.: ‘comme les chiens’, le sens de ‘salle avec chauffage’ étant moins prob.]; VengAlE 1799 [ardoir en foier (un mort, comme punition supplém.)]; MonRaincB 1605; AngDialGregO2 3290 [une fouace souzcendrere… enz el feuier la poserent]; 3305; 3314; 3318; FergM 40,21 (1463); GautAupF 449 [au bois, l’autrier, Si ont copé espine, s’en firent un fouier… assis fui el brasier]; etc.etc.; PrestreAlisN 253; SPierJonglN 92 ms. A; 92 ms. D [Atant s’est assis au foier, Si fait le feu delivrement Et chaufe]; TroisBoçusN 113; 198; CoincyII34K 1310 [le viellart qui ou fouier Siet toute jor pour lui toster]; etc.etc.; StimmingMot 8,b,9, p. 83; CourLouiscLe 296; MeunArlN 179 [est venu droit au lit Qui fais estoit les le fouier]; SegrMoine2N 330 ms. B; 285 ms. p; AubS 406 [l’ont droit au fouier portee (la jeune fille, pour qu’elle se réchauffe)]; HuntTeach 1,230 [focarius : foer]; OutVilN 131 [le banc el fouier]; OutVilbN 133; BaudCondS 169,507 (Hiraus) [seoient… a cest feuier (ms.), S’ierent rosti jusc’as cuiers]; AlexParhM 423,21 [= éd. A III 6389]; AntiocheD 7604 [U fu prise li cars que voi sor cel foier]; etc.etc.; CoincyII34K 1311 var.; RenγF2 257; Saisna/lB 2766 [parler le soir contre foier]; SaisnlB 3090 [Antor la cheminee, le soir, contre foier]; ChirPoutrS 70vo,20 [cendre caude de fouier metés en une paiele d’eue… et li torche les piés et les gambes (au cheval: méd.)]; etc.etc.; FevresS 233b-20; MaillartR 2103 [je les ai fet asseoir A ce foier… Pour mengier]; 2114 [Lors sont assisez toutes trois Au foier qui fu molt estrois]; ChirChevP 58 [(méd.:) terre de fouier ars]; etc.etc.JDupinMelL 1267 [Chiez eulx n’a plus froit du fouhier]; HuntTeach 1,320b,11 [focus : foier gallice]; LionBourgAlK 27754 [Il vont en le fouier ung grant feu alumant (pour brûler un corps)]; [AalmaR 4312 [focarium, -ii : fouyer]; 5585 [ignearium, -rii : fouyer]; 12430 [ticionarium, -rii : tisonnier ou (= au) foier]; GlLilleS 126b [focarium : fouyer; focarius : panis in cinere coctus]], TL 3,1975; Gdf 4,111a [“réchaud”, 1415/16-1595; “feu”, GautAup[F 449], surinterprété]; GdfC 9,632b; ANDEl; DMF; Li 2,1670c; TLF 8,1184b; FEW 3,649a [“âtre…” trop étroit]; 3,649b, 2. [“réchaud…” improb.])
  • “id.”, comme expression d’une valeur minimale servant au renforcement affectif de la négation⁠ (ca. 1330, HuonAuvbS6 8845 [non le prisse (le dragon) un foier, var. T dinaro(4)])
  • “id.”, comme lieu de séjour du grillon domestique (fait chargé de certaines croyances, v. Rem. 3, supra)⁠ (1322, RenContr1R 2,200 (après RenContrR 27470) [(le grillon) De nuiz chante en leur (des hommes) fouier… Hons ne beste n’ose hanter Ou leu ou Frobers va chanter… nulz n’ose lever la teste])
  • ⁠loc. subst. chat de foier “chat domestique” (ici comme objet de la pelleterie(5))⁠ (ca. 1268, LMestL II,xxx,12, p. 282 [Piauz de chaz privez que l’en apele ‘chat de feu’ ou ‘de fouier’])
  • ⁠loc. subst. ramonne foier dénomination injurieuse d’une personne (ici humiliant un chevalier) (1em. 14es., MonRaina[B 6815] [Chaitis dolenz, avutres, cuisinier, Faus hume, breus et rammone foier, ms. lorr. BN fr.368 fo 256voa,39; éd. B à corr.], MénardRire 132)
  • ⁠par méton. “(grande) pièce à chauffage dans une maison” (2em. 12es., Aiol2F 7296 [issi de la cambre, si revient el fouier (où les invités sont à table)], TL 3,1975,32; FEW 3,649a [“salle (au théâtre…)” dep. Trév 1752, cp. mlt. focaria, MltWb 4,341,23])
  • “feu lumineux aménagé (sur la côte) pour guider (les navires)” (13701851, doc. orig. Rouen 1370 ChazelasClos 221 [(trois gardiens) commis… a garder le fouier du Quief de Caux es frontieres de la mer (devant Sainte Adresse)], FennisGal 965 [1370-1851]; FEW 3,649a [1690-1851], cp. TLF 8,1186a, III.A.1.(6))
mfr. contrefoier m.
  • “chemise du contrecœur ou des parois de la cheminée” (1434; 1449; dep. 1779, doc. Nevers 1434 Gdf [pour appariller les contrefoiers des cheminees]; doc. Blois 1449 GdfC [fait le fouer et le contrefouer de la chambre]; doc. Clessy en Charolais Courtépée, Descr. gén. Bourgogne, 7, Dijon 1779 [Grais bon pour les contrefoyers des forges, à vérif.]; Descriptions des machines et procédés 49, 1843, p. 368, no 5838 de 1833, Gdf 2,274a; GdfC 9,632b; DMF; ad FEW 3,649b, auj. surtout “plaque de cheminée”(7))
foiere f.
[ÉtymologieFormé avec le suffixe lt. -aria / fr. -iere servant à qualifier le lieu et le récipient (StotzWortb § 47; Nyrop 3, § 252). Le passage du sens de “ensemble constitué par le lieu, la construction et la fonction du foier” à “feu fermé…” est insensible et dépend de l’évolution technique. V. la Rem. 1, supra.]
(foiere EnfGodM 1074, fouiere 2em. 12es. Aiol2F 10474; AlexParhM 541,5)
  • “ensemble de ce qui constitue le foier (2em. 12es.; 1448, Aiol2F 10474 [se sient les a les Dejoste la fou(r)iere sor .i. tapis(8)]; [doc. 1448 HautcœurFlines 916 [chauffer ung drappelet a une fouyere… sur icelle fouyere ara la maniere d’unne caudiere seant sur ung andyer (descr. d’une sculpture à faire)]], TL 3,1975; Gdf 4,111a [sub “réchaud”, contexte mal tronqué]; FEW 3,649b, 2.)
  • ⁠loc. verb. metre a foiere “mettre en feu, incendier” (fin 12es., EnfGodM 1074 [m’eschillent me terre et metent a foiere (rime avec pautoniere, saint Pere, etc.; var. bruiere); = GodBouillH 1069, p. 39], TL 3,1975,44)
  • “feu (semi-)fermé ou ouvert et mobile, servant à la cuisson ou au chauffage, réchaud, brasero ou poêle” (ca. 1185; 13691600, AlexParhM 541,5 [se gisoit sor cote et a rice fouiere, = AlexParA IV l. 58.6, 26 var., var. coste, dejouste grant brasiere rendant le sens possible.], Gdf 4,111a [1. fouiere “réchaud”; ib., 2. fouiere “fourrure” err.]; DMF; Hu 4,193a [fouyere d’arrain et sim., < Gdf]; FEW 3,649b, 2.(9), survit à Mons, v. ib.)
trefoier m.
[ÉtymologieLe mlt. *TRANSFOCARIUS (adj. > s., FEW 3,649b) désigne la grosse bûche ou le chenet ou landier posés au fond du foier servant à soutenir les bûchettes et bûches. Cp., pour la formation, mlt. hypopyrgium “chenet” (LathamDict 1,1193b), glosé par *trefoier, v. infra. – Les sens de “chenet”, puis “plaque de cheminée”, en sont des métonymies (FEW 3,649a, I.2.: lim. et périg.). Cf. esp. trasfogar m. (de fer), prob. “chenet” (13es., RFE 10,131; Corom2 2,968b, aussi trasfogar / trashogar “leño gruesso de tràs del hogar”, Manuel de Larramendi, Dicc. tril., 1745, 344b; trashoguero m., Corom2 2,968b s.d.; 4,1008a; AcEsp 1739 6,334a; etc.). Cp. → trefeu sub feu. Les att. agn. du premier sens pourraient suggérer un régionalisme, mais il faut considérer la qualité des att. et la chronologie.
Rem.: Mfr. treffonier m., glosant tripofonium, GlLilleG 24b, reste non identifié (= GlLilleS 128b, Gdf 8,35c et DC 8,186b, toujours sans déf.; TL 10,569 “ein Haus- und Küchengerät”; renvoi dans DMF). Une lecture treffouier est possible et même probable, mais n’explique pas tripofonium (il existe tripodium, LathamDict 2,3506a). La glose se trouve dans le glossaire au classement onomasiologique sous ‘De domibus et utensilibus’, de sorte que “chenet” est possible.
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(treffoyer doc. Bourg. 1370 DMF, treffoer InvJChalonP 667,1., ⁠agn. trefuer 1em. 13es. JGarlrgH 55; JGarl HuntTeach 2,151 (55); 2,148 (55), treffuer JGarl HuntTeach 2,146 (55), ⁠s.l. treffouier ProstInv I 745 note; I 2480, treffouyer AalmaR 6249, trefouer ProstInv II 398, tresfouier ProstInv I 745, traffouier ProstInv I 745 note)
  • “très grosse bûche posée dans le fond de l’âtre, bûche de Noël(10) (1em. 13es.déb. 14es., JGarlrgH 55; JGarl HuntTeach 2,146 (55) [retrofocinium vel lignificum : treffuer]; 2,151 (55); 2,148 (55) [retropoficinium(11) : gallice trefuer], ANDEl [JGarl; “fire back” à corr.; y joint à tort trefeu, v. → feu]; Benoit ZrP 44 (1924/1925) 414-415(12); ad FEW 3,649a, I.2.)
  • “(grand) chenet, landier” (1359Garb 1487, ProstInv I 745 note [4 paires de traffouiers]; InvJChalonP 667,1. [deux treppiers de fer, trois treffoers de fer]; ProstInv I 745 [une paire de grans tresfouiers en la chambre]; doc. Bourg. 1370 DMF; ProstInv I 745 note; AalmaR 6249 [ipopregium, -gii : chiement de fer ou treffouyer sur quoy l’en fait le feu(13)]; ProstInv I 2480 [trepiers, cromasles, roustiers, treffouiers]; II 398, Gdf 8,35c [Garb 1487]; BPH 1971 (1977) 60; DMF [joindre A. et B.]; FEW 3,649a, I.2.)
trefoiere f.
[ÉtymologieMême formation que lim. trafougieiro f., v. FEW 3,649a, se basant sur Mistral qui définit “plaque de cheminée, contre-cœur”: à vérifier.]
(treffouiere doc. (inv.) Dijon 1394 Gdf)
  • “(grand) chenet, landier” (1394, doc. (inv.) Dijon 1394 Gdf [.ii. cromasles (“crémaillière”), .i. paire de treffouiere], Gdf 8,35c; Benoit ZrP 44 (1924/1925) 414; DMF [“chenêt, trépied”; renvois]; FEW 3,649a)
(1) Cat. foguer v. CoromCat 4,66a. Rapports complexes, v. encore REW 3398; lt.tard. focaris petra 1ert. 7es. IsidL XVI 4,5, var. fogaris p. ms. Bobbio déb. 8es.
(2) TL établit de même le lemme foier, mais au contraire loiier, prob. à la suite de Foerster.
(3) Aj. au dossier déjà la glose clibanos : forne de fer, AdParvH 86, ms. agn. fin 13es. (HuntTeach 2,46).
(4) Sans correspondance dans le fragm. Br; la var. dinaro est un renforcement courant, v. MöhrenVal 97-101. Pourrait-il s’agir d’un dérivé de fueille (cp. foillier)? Une identification avec foier "foyer" paraît difficile.
(5) La redevance chargée sur la fourrure du chat de foier vaut la moitié de celle du chat sauvage.
(6) On pourrait y intégrer des att. comme portée d’un phare (sur la côte)… intensité de son foyer, La Lum. électr. 18 (1885) 422, et sim.
(7) On en trouve sur le marché, cherchez contre-foyer/plaque de fonte.
(8) Le ms., fo169voa,5, est net. L’éd. N maintient fouriere, définissant "paille (répandue dans les appartements)", sans appuis. La conjecture de l’éd. F est discutée dans une longue note. Influence de forn ou de fornel? Joindre Aiol et AlexPar cité infra?
(9) Criticable: ‘en grillage’ trop étroit, ‘charbon de terre’ sans fondement, ‘pour se réchauffer’ exclut à tort la possibilité de cuisiner sur la foiere.
(10) Une identité (partielle) avec le sens métonymique suivant est possible.
(11) Ce terme est glosé par l’angl. yolstoc “bûche de Noël” dans un ms. fin 13es., ib., 145 (65).
(12) Discute l’orig., trans+focarius, et des influences de trabs et fagus sur son groupement de mots.
(13) V. LathamDict 1,1193b hypopyrgium. Corr. chiement en accord avec Garb 1487 ipopirgium : chiennet…, v. Gdf.